BREAKDANCE AUX JO PARIS 2024
La breakdance aux JO de la capitale 2024, c’est vrai ?
Le Comité d'organisation des JO présentera très vite les activités qu'il désire incorporer au programme de ses Jo. La breakdance, issue de la culture hip-hop, serait susceptible de entrer en scène. Dans soixante mois et demi, les JO de la capitale seraient suceptible de voir arriver leur pack de B-boys et B-girls, le nom donné aux pratiquant(e) s de la breakdance, avec force « battles » (batailles) entre « crews » (équipes). La discipline est en effet grandement pressentie pour faire partie des activités sportives qui seront rajoutés au programme olympique. Désireux de rajeunir sa popularité et de séduire d'autres collaborateurs, le Comité international olympique (CIO) a inclu la breakdance au mois d'octobre 2018 aux Jo de la jeunesse de Buenos Aires. Un tremplin de décision vers le mont Olympe.
Quels sont les prétendants ?
Une vingtaine d'autres fédérations reconnues par l'action olympique (ce qui décrit notamment le manque de l'e-sport) ont manifesté leur appétit pour Future 2024. Le trial électrique, le squash, la pelote basque, le ski nautique, les fiascos, le blackball, le bridge ou même la pétanque sont donc dans les starting-blocks. Les heureux hommes politiques répondront aux regles de rafraîchissement des anneaux : des activités jeunes, mixtes, universels, extraordinaire et se déroulant dans les fondations accessibles. En 2012, dans la capitale du japon, cinq sports auront les honneurs des Jeux : karaté, skate-board, surf, base-ball et escalade. Il pourrait y en acquérir moins sur les côtés de Seine dans un peu moins d'une décennie. La quantité d'athlètes sera en effet confiné à 10 500 (contre près de 11 000 au Japon).
Quand sera-t-on établi ?
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